Concernant le texte d’Aragon, le texte est paru dans l’Humanité le 21Juin 1982 et a été donné à certaines personnes sous forme de lithographie (dont j’ai hérité)
Voici le texte (une petite erreur sur le premier vers :) ) :
J’ai fini de rire et de mourir
L’un avec l’autre, colombe cruellement...
Quelle nuit porte ce jour splendide,
Les gens sont oiseaux d’égarement !
Le monde est le chemin
D’aimer
Comme de mourir
Il faudra vivre encore,
Même dans les jours noirs
Au-delà des larmes et du sang...
Vivre, voisin, sur une seule terre
Il faudra bien aimer
Comme encore jamais
Et ce jour là sera ma patrie
Semblable à l’enfant retrouvé
Parmi les ruines abandonnées,
Marchons pour la paix !
Aragon
Concernant le texte d’Aragon, le texte est paru dans l’Humanité le 21Juin 1982 et a été donné à certaines personnes sous forme de lithographie (dont j’ai hérité)
Voici le texte (une petite erreur sur le premier vers :) ) :
J’ai fini de rire et de mourir
L’un avec l’autre, colombe cruellement...
Quelle nuit porte ce jour splendide,
Les gens sont oiseaux d’égarement !
Le monde est le chemin
D’aimer
Comme de mourir
Il faudra vivre encore,
Même dans les jours noirs
Au-delà des larmes et du sang...
Vivre, voisin, sur une seule terre
Il faudra bien aimer
Comme encore jamais
Et ce jour là sera ma patrie
Semblable à l’enfant retrouvé
Parmi les ruines abandonnées,
Marchons pour la paix !
Aragon