Hi everybody !

Yeah Babe, i know, je me remets à parler franglais, but wait, i have a very good reason.
La BFF a migré à Londres (DRAME ÉMOTIONNEL), donc je vais évidemment sauter dans le premier easy jet dès que ladite aura emménagé : et la rule number one qu’on a instauré, c’est qu’à Londres, on parle anglais, même entre françaises. Mon sang anglais n’a fait qu’un tour, je suis toute excitée.

Bref, bon et sinon, ici comment ça se passe ? Ben j’en suis à la 125ème page sur 176 de mon tome 2. Je dois rendre fin février, y’a mon anniv entre temps, it’s gonna be complicated.

Du coup, je garde mes histoires hilarantes et foooOOoollement intéressantes pour le bouquin, mais pour que le blog ne décède pas, je me suis dit que je vous posterai quand même quelques boulots du moment qui m’ont bien amusée (parce que ça ne chaume pas dans ma chaumière, Monsieur) (Oui je sais, j’ai un sérieux problème avec les parenthèse, c’est une maladie, j’y peux rien) (Tellement pratique pour, tu sais genre « dire sans dire », du style haha, c’est entre parenthèse ça n’a pas d’intérêt : mais en fait si).
(bref).
(Punaise, on ne peut décemment plus utiliser ce mot sans penser à la série, c’est énervaaaaant).

Cet aprem, pour noyer mon chagrin causé par la perte de feu Whit-Whit (sérieusement, je suis toute tourneboulée, j’ai scandé I Will Alway love You à peu près toute la journée, la larmouse au coin de l’œil…comme si la chanson n’était pas déjà assez lacrymalement chargée) j’ai lu pour la première fois L’amour dure trois ans, de notre cher Frédéric Beigbeder. Oui, mille trains de retard, la meuf.
C’est drôle comme j’ai autant envie de lui mettre des claques que de lui faire un gros câlin, à cet amoureux de l’amour/gros handicapé sentimental complexé, qui se complait dans son cynisme alors qu’il n’attend, au fond, que de tomber sur celle qui lui prouvera qu’il a raison d’y croire.
En fait, il m’a un peu séduite, le Fred, j’avoue. Quelle cruche de bas étage, tomber si facilement c’est navrant. Offrez-moi un peu de personnalité pour mes (AAAAAAH) 24 ans s’il vous plaît, merci.

Voilà, il y avait le film, que j’ai vu et aimé, le bouquin prenait la poussière dans la biblio de mes parents, il faisait froid, je devais digérer ma raclette, le chat ronronnait sur le tapis, alors je me suis lancée.
« Ça, c’est fait », comme on est censé ne plus dire depuis 2010.

Sur ce je vous laisse terminer votre dimanche avec deux trois images dans lesquelles se cachent certaines de mes amies (sauras-tu les reconnaître ?), illus réalisées pour le titre : Aujourd’hui on enterre ta vie de jeune fille chez Hugo & Co (à paraître je ne sais pas quand, je vous le dirai).

Sur ce, moi je vais me caler devant Chloe (peut être un moyen subliminal de palier au manque de MA Chloé, who knows ?), que j’avais vu au ciné mais que comme je suis dans ma phase Julianne Moore j’ai envie de revoir. Et si je peux émettre un conseil/avis inutile, j’ai été vraiment agréablement surprise par « the kids are all right », alors si tu peux, jeune Padawan, regarde ce film il est méga cool à tendance waouh (ndlr : vous noterez l’effort de référence à Star Wars alors que je ne l’ai jamais vu).

Allez, ta gueule Maureen, range tes parenthèses, laisse les gens se reposer les mirettes deux secondes et va mater ton film avec Flutiou sur le bide.

(tous droits réservés- Hugo & Co)

Bonne fin de week end à tous !

Cet article est repris du site http://diglee.com/work-2/