Il y a quelques mois, on me signale que Camille repasse pour la troisième fois en moins d’un an dans le coin. Je ne l’ai toujours pas vue, j’ai pensé beaucoup de bien de son dernier album, c’est l’occasion. Mais bien sûr, comme d’hab, je m’y prends à la dernière minute et lors de mon arrivée à la billeterie de la FNAC, en novembre, lorsque je demande combien il reste de places, le vendeur me dit « Une seule ». Je la prends.

Quelques mois plus tard, ce mardi 14 mars, Wouailch et mois nous rendons dans l’enceinte mythique du Théatre Sébastopol. Bah pas marrant y’est tout enrhumé mon copain, ’peut moins participer au plaisir du coup. Et en même temps ....

La première partie est assez impressionnante. Un jeu de claquettes à vous faire remuer Fred Astaire dans sa tombe non mais quel talent ! Mais un peu trop long à mon goût. C’est de la musique qu’on est venu voir non ?

Puis la miss dont tout le monde parle apparaît, drappée de blanc autour des fils tendus à travers la scène. S’ensuit un très joli spectacle plein de poésie et plaisir, très frais. Capable de se transformer en Iggy Pop ou Didier Wampas c’est selon, lorsqu’elle escalade la scène ou d’être aussi très enfantine. Un peu trop même parfois. Bon musicalement, je ne retiens pas tout, mais ça n’en reste pas moins une très bonne soirée. Camille m’a conquis, ces formes ravissantes aussi. Vivement les photos que les trop nombreux flashs durant le spectacle ont pu prendre de ses courbes bien faites.

On a terminé gentillement au Mac Ewans juste en face où Wouailch m’a donné une leçon de bière trappistes. « Il en existe 7, je vais goûter cella là que je connais pas, et y’a la ..... »

Maw Maw, WafWafWafff ; Maw Maw, WafWafWafff ; Maw Maw, WafWafWafff