« Courts » de cuisine à l’Univers

, par  Olivier Duquesne aka DaffyDuke , popularité : 1%

Cette fois voilà une soirée originale. D’abord, ça se passe dans un cinéma apparemment associatif, l’Univers. Le principe, des courts-métrage sur la nourriture, on mange des spécialités locales et on recommence.

Au menu

 L’écuelle et l’assiette : 40 ans de cinéma français, des extraits mis bout à bout pour parler de nos assiettes.

 Le trieur : un homme trie des petits poids avec un soupçon de folie

 Yaourts mystiques : les yaourts n’attendent qu’une chose, être choisi lors de l’ouverture du frigidaire. Malheureusement, monsieur citron reste là. S’ensuivent des meurtres curieux autour du freezer ... Mon préféré, Tim Burton peut s’accrocher ! Excellent thriller lactique.

 Poulet Cocotte : un film policier dramatique dans un lycée hôtelier. Voilà qui nous mets franchement l’eau à la bouche malgré la souffrance des personnages, tant ça a l’air bon.

 Qui veut du pâté de foie ? : un piti n’enfant fini dans le frigo d’une famille d’ogres.

 Poulet-Poulet : un casse-tête chinois, une marmitte ? Quel cauchemard ...

 Le nez à la fenêtre : un homme meurt de chocolat.

On mange des salades, du paté, du pain, des salades, miom

 La viandas : un restaurateur espagnol qui aime le cassoulet.

 Die Oberrashung (La Surprise) : mon préféré de la deuxième séance. Une surprise gastronomique pour reconquérir son amie qui tourne au drâme. Pauvre Flup.

 Bast Pasta : les spaghettis se rebellent.

 Fetter Zauber (Fat Magic) : un cendrillon gourmande de friandises

 Nos adieux au Music-Hall : histoire tragi-comique où des marionnettes danseuses sont ... des nouilles !

 Mourir en macédoine : des légumes suicidaires dans un laboratoire.

et pour finir au déssert, du fromage, des salades de fruit, du gateau, miom.

Au Tire Na Nog

Sansan nous abondonne après les projections. Fab aussi car on peut pas se garer, le Tire Na Nog est bondé, même sous le chapiteau . Et oui, aujourd’hui c’est Saint Patrick, et en plus les dix ans du bar. Finalement, Blacky, Ouailch, Marie et moi se retrouvons à l’On Time. La déco a complètement changé, un peu romain, franchement lounge toujours, une lumière très tamisée. Des tarifs exhorbitants, la musique va très fort, en fin de soirée au termine au Tire Na Nog jusqu’au son de cloche fatidique. La Guinness a coulé à flot.

Bonus

J’ai eu la suite de mon cadeau d’anniversaire. Un truc méga-geek qui n’a rien à voir avec les autres choses déjà offertes (le dernier album d’Emilie Simon en édition collector, et la bande dessinée Cafougnette). Cette fois c’est un chauffe-tasse électrique, non USB, non nucléaire ! Mouarf. Merki.